À la découverte des trésors de Pétra
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À la découverte des trésors de Pétra
23.01.2014, par
Pétra, en Jordanie, était la capitale du royaume des Nabatéens, qui y étaient installés depuis au moins le IVe siècle avant J.-C. Le site, redécouvert en 1812, attire encore de nombreux scientifiques du monde entier. Tour d’horizon de ses plus beaux trésors.
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Le tombeau dit de la Khazneh, datant du Ier siècle après J.-C., est le plus célèbre du site jordanien de Pétra. Son nom signifie « trésor », car les Bédouins pensaient qu’un trésor était caché dans l’urne placée à son sommet.
CNRS PHOTOTHÈQUE/H. RAGUET
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Ces petits tombeaux de la nécropole dite du Théatre présentent une architecture assez simple. Pour cette raison, ils occupent les falaises les moins hautes.
CNRS PHOTOTHÈQUE/H. RAGUET
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Ce décor peint représentant des vignes, des fleurs, des oiseaux et des figures animées orne la voûte d’une salle de banquet aménagée dans le Sîq al-Bârid, un passage étroit entre deux falaises au nord du site de Pétra.
CNRS PHOTOTHÈQUE/H. RAGUET
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La plus ancienne inscription nabatéenne de Pétra est gravée dans une salle de banquet du secteur d’al-Madras, à l’est du site. Elle est dédiée au dieu Dûsharâ.
CNRS PHOTOHÈQUE/L. NEHMÉ
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Le Grand temple, datant du Ier siècle après J.-C., est l’un des monuments majeurs du site de Pétra du fait de ses dimensions (700 m2) et de la richesse de son décor architectural.
CNRS PHOTOTHÈQUE/H. RAGUET
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La voie à colonnades qui traverse le centre urbain de Pétra aboutit au téménos (l’aire sacrée) du plus grand temple de la ville, le Qasr al-Bint.
CNRS PHOTOTHÈQUE/H. RAGUET
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Au sommet du Jabal al-Madhbah, la « montagne du sacrifice » en arabe, les Nabatéens réalisaient des sacrifices d’animaux sur l’autel visible au premier plan.
CNRS PHOTOTHÈQUE/H. RAGUET
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Ce grand monument rupestre, appelé al-Dayr, « monastère » en arabe, était peut-être consacré au culte du seul roi nabatéen divinisé après sa mort, Obodas I, au Ier siècle avant J.-C.
CNRS PHOTOTHÈQUE/H. RAGUET
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Les chambres rupestres, situées en bas d’une falaise du Jabal al-Khubtha, appartiennent à des ensembles domestiques ou cultuels. Au-dessus, on aperçoit une canalisation prenant la forme d’une saignée horizontale.
CNRS PHOTOHÈQUE/L. NEHMÉ
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Cette voie processionnelle, taillée dans la roche, menait au sommet du Jabal an-Numayr. Les voies de ce type desservaient des sanctuaires, hauts lieux rupestres aménagés par les Nabatéens.
CNRS PHOTOHÈQUE/L. NEHMÉ
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