Logo du CNRS Le Journal Logo de CSA Research

Grande enquête « CNRS Le Journal »

Votre avis nous intéresse.

Le CNRS a mandaté l’institut CSA pour réaliser une enquête de satisfaction auprès de ses lecteurs.

Répondre à cette enquête ne vous prendra que quelques minutes.

Un grand merci pour votre participation !

Grande enquête « CNRS Le Journal »
Donner du sens à la science

La machine à simuler l'atmosphère

La machine à simuler l'atmosphère

05.09.2022

Ce nouvel épisode d'Un zeste pour la planète nous parle d'éoliennes... Mais surtout d'une machine extraordinaire, qui permet de simuler la rotation de la Terre et ses écoulements atmosphériques pour réaliser des expériences inédites. Un instrument précieux lorsqu'il s'agit d'implanter au mieux des parcs éoliens en haute mer, là où ils sont soumis à diverses forces terrestres...

À propos de cette vidéo
Année de production :
2022
Durée :
6:58
Réalisateur :
Julien Deschamps
Producteur :
CNRS Images
Intervenant(s) :
Source et validation scientifique : Samuel Viboud et Martin Obligado, Laboratoire des écoulements géophysiques et industriels (LEGI, CNRS/Université Grenoble-Alpes) ;

Écrit et présenté par Jennifer Kerner, docteure en archéologie, vidéaste et animatrice de la chaîne
@Boneless Archéologie
Autres collaborateurs : Stéphane Rossi, Christophe Gombert, Luc Ronat et Thomas Huguet.
Journaliste(s) :
Sébastien Chavigner

Commentaires

5 commentaires

Bonjour : "ne survivraient, que des cafards, des rats et des contrôleurs des impôts...." peut on rappeler à cette présentatrice, très pâle copie de sa prédécesseuse et à l'équipe chargée des scripts, que ce sont les impôts qui la a (les) payent? merci cordialement Alphawise

les contrôleurs des impôts permettent de contrôler que chacun contribue comme il se doit à l'école, l'hôpital (entre autres) pour tous. Il serait bon de les réhabiliter, ainsi que la notion d'impôt de manière générale...

Je viens de visionner la très vivante vidéo "la machine à simuler l'atmosphère". Bravo, il faut de tels documents pour attirer les jeunes et même les vieux comme moi. Je voudrais faire juste trois remarques: - J'ai entendu deux fois le mot "nucléaire", sans comprendre s'il s'agit de l'horrible bombe ou de l'utilisation (à mon avis très défendable) pour produire de l'énergie. - Le laboratoire Coriolis a été rénové en 2014 mais existait bien avant. Je l'avais visité en 1964. Il servait à simuler les marées dans la baie du mont Saint Michel, pour un projet d'usine marémotrice. - J'ai entendu rapidement deux fois le mot "nucléaire", sans comprendre s'il s'agit de l'horrible bombe ou de l'utilisation (à mon avis très défendable) pour produire de l'énergie. - Le laboratoire Coriolis a été rénové en 2014 mais existait bien avant. Je l'avais visité en 1964. Il servait à simuler les marées dans la baie du mont Saint Michel, pour un projet de méga-usine marémotrice. - L'explication super-simplifiée de la force de Coriolis (avec une balle lâchée depuis l’Everest - ou plutôt d'un ballon), est erronée. Je m'explique : 1) la force de Coriolis dévie la trajectoire de façon continue. Celle-ci n'est pas droite comme on le voit sur la vidéo mais courbée. Au début elle est tangente à la verticale. 2) Pour une balle qu'on laisse tomber dans le couloir d'un wagon de train en marche, le même raisonnement prédirait que la balle ne tombe pas à nos pieds mais arriverait très loin d'eux, peut-être même dans un autre wagon (ici ,j'oublie le mouvement et la rotation de la Terre, mais pas la vitesse du train). 3) En fait, dans l'exemple de la vidéo, le point de chute devrait être à droite et non à gauche de la verticale (si je ne me suis pas trompé, dans cet exemple la planète tourne dans le sens des aiguilles d'une montre). Ce qui compte c'est la différence de vitesse horizontale (dans le référentiel non-tournant) entre l'Everest et la plaine. Et l'Everest va plus vite que la plaine...
Pour laisser votre avis sur cet article
Connectez-vous, rejoignez la communauté
du journal CNRS