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Petit point d’étape après 1260 kilomètres… et mon arrivée à Toulouse. Le début de mon périple s’est déroulé plus ou moins comme prévu. Le quadrix – c’est-à-dire mon fauteuil- est très maniable, et je me suis familiarisé rapidement avec.
Les premières étapes étaient les plus longues, et logiquement les plus fatigantes. En général, je commence une étape vers 10h, un peu plus tard lorsqu’une visite ou une réunion matinale est organisée dans l’université locale. Je prends la route en empruntant le maximum de pistes cyclables. Je fais une pause toutes les deux heures environ, et comme une étape complète me prend entre 6 et 8h, mon arrivée a lieu généralement entre 18h et 20h.
La fatigue se fait bien sentir, mais une bonne douche et un sommeil profond m’ont suffi jusqu’ici pour être en forme le lendemain.
Partout, à chaque étape, l’accueil était super. Par exemple dans l’université Jules Verne à Amiens -ma première étape- ou encore à l'université de la Rochelle dans laquelle j'ai pu échanger avec les directeurs de laboratoire en informatique. Dans cette même université, j’ai également eu la chance de visiter deux laboratoires de recherche.
L’accueil est chaleureux : j'ai même été honoré par des médailles de villes comme à Royan, en Charente Maritime, ou dans des villes normandes. Ça m'a fait vraiment plaisir.
Un détail qui n’en est pas un dans un Tour de France : jusqu'à présent, j'ai eu un climat magnifique. Je n’ai compté que 4h sous la pluie… entre Nantes et la Rochelle. Pourvu que ça dure. A bientôt pour la suite !
Commentaires
Magnifique leçon de vie grâce
Débouchage Cana... le 16 Janvier 2019 à 16h44Connectez-vous, rejoignez la communauté
du journal CNRS