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Dans l'atelier du solaire
      06.01.2016, par 
        
            
              
            
              
  Les enjeux économiques et sociétaux liés à la transition énergétique profitent à la filière photovoltaïque. Les chercheurs de l’Institut des nanotechnologies de Lyon développent des concepts innovants pour augmenter le rendement tout en limitant le coût de production des panneaux solaires.            
                         
  
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          Les cellules photovoltaïques actuelles convertissent entre 18 et 20 % de l'énergie provenant des rayons solaires en électricité. Augmenter ce taux tout en abaissant les coûts de production est l’objectif des chercheurs de l’Institut des nanotechnologies de Lyon (Unité CNRS/Centrale Lyon/Insa/UCBL/CPE).            
Cyril Frésillon / INL / CNRS Photothèque
     
  
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          Une cellule photovoltaïque est un assemblage de matériaux fonctionnels tels que le silicium, le nitrure de silicium, l’argent ou l’oxyde d’aluminium. Les chercheurs de l’INL utilisent des cellules à base de couches minces de silicium cristallin.            
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          La fabrication de couches minces de monocristal de silicium permet de faire des économies de matériaux et de développer des cellules flexibles. Les chercheurs les font croître dans un réacteur porté à une température de 1100 °C avec un temps de procédé d’environ 1 h 30.            
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          Pour assurer la collecte du courant photogénéré, un dépôt d’électrodes métalliques sur les deux faces de la cellule est nécessaire. Celui-ci peut être réalisé par pulvérisation cathodique de métaux (argent, aluminium...).            
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          Une couche de nitrure de silicium est déposée à la surface des cellules photovoltaïques. Cette couche anti-reflet est essentielle à la pénétration des photons et à la réduction de la réflexion de la lumière qui abaisse le rendement.            
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          Les scientifiques utilisent un laser UV qui permet de chauffer localement le silicium afin de le doper au phosphore ou au bore, ce qui modifie ses propriétés de semi-conducteur.            
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          Ce laser a pour effet d'améliorer le contact électrique entre le silicium et le dépôt métallique. Cette technique permet d’augmenter le rendement par rapport à un procédé standard.            
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          Les échantillons de silicium sont préparés avant d’être insérés dans un réacteur de dépôt où une couche d’oxyde d’aluminium est déposée à leur surface.            
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          La couche d’oxyde d’aluminium augmente le rendement des cellules en diminuant les défauts de surface qui piègent les électrons générés par la lumière.            
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          Les performances électriques et le rendement des cellules photovoltaïques sont analysés grâce à un simulateur solaire calibré.            
Cyril Frésillon / INL / CNRS Photothèque
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