Vous êtes ici
Hwange, des animaux et des hommes
30.05.2014, par
Au Zimbabwe, le parc national de Hwange constitue un écosystème de savane façonné par l’homme.

85
Mode diaporama
Depuis 1999, le chercheur français Hervé Fritz coordonne, avec les gestionnaires du parc de Hwange et les communautés locales, les études scientifiques menées sur place. En 2011, le parc et sa périphérie ont été labellisés Zone atelier par le CNRS.
AFP / Martin BUREAU

86
Mode diaporama
Durant la saison sèche, cette chercheuse réalise un prélèvement à un point d’eau auquel des éléphants s’abreuvent pour analyser l’évolution de la qualité de l’eau et évaluer son impact sur les populations animales.
AFP / Martin BUREAU

87
Mode diaporama
Des appareils photo dissimulés autour de vingt points d’eau prennent des clichés toutes les douze secondes pour observer la fréquentation animale en fonction de l’eau disponible dans un contexte d’aridification.
AFP / Martin BUREAU

88
Mode diaporama
Grâce à des colliers GPS, les chercheurs suivent 23 buffles pour en savoir plus sur leur habitat, sur leurs interactions avec leurs prédateurs et sur les risques de transmission de pathogènes.
AFP / Martin BUREAU

89
Mode diaporama
Le parc de Hwange abrite 35 000 éléphants, l’une des plus fortes densités au monde. Les chercheurs pistent par satellite 23 femelles et 10 mâles pour mieux observer leurs déplacements.
AFP / Martin BUREAU

90
Mode diaporama
En période sèche, les herbivores se concentrent autour des rares points d’eau, maintenus par un système de pompage. Résultat, la végétation à proximité s’épuise assez rapidement.
AFP / Martin BUREAU

91
Mode diaporama
À l’aide d’une antenne radio, ce doctorant piste à distance de nombreuses espèces : éléphants, buffles, zèbres, hyènes, lions et vaches.
AFP / Martin BUREAU

92
Mode diaporama
Chaque zèbre possède un patron de rayures unique, ce qui permet d’instaurer un suivi individuel de ces animaux afin d’étudier leurs déplacements et leurs dynamiques démographiques.
AFP / Martin BUREAU

93
Mode diaporama
Le suivi d’une trentaine de lions, équipés de colliers GPS par des universitaires d’Oxford, permet aux chercheurs d’analyser plus finement le comportement des herbivores face au risque de prédation.
CNRS Photothèque / Stéphanie PERIQUET

94
Mode diaporama
Les bovins ont une valeur économique et sociale importante. Un éleveur du village de Lupote conduit son bétail vers un bain acaricide, un traitement préventif contre des maladies transmises par les tiques.
AFP / Martin BUREAU

95
Mode diaporama
Cette vache plonge dans un bain acaricide. Les chercheurs évaluent les risques de transmission des maladies entre la faune sauvage et le bétail, en particulier entre les buffles et les vaches.
AFP / Martin BUREAU

96
Mode diaporama
Chercheurs et villageois travaillent ensemble dans un champ du village de Magoli qui a été ravagé par les éléphants. Ils mesurent les empreintes de pas pour déterminer la composition du groupe ravageur.
AFP / Martin BUREAU

97
Mode diaporama
Installées autour d’un champ, des « barrières de ruches » éloignent les éléphants qui redoutent les abeilles. Grâce à cette solution efficace et peu onéreuse, les fermiers n’ont plus à surveiller leurs champs durant la nuit.
AFP / Martin BUREAU

98
Mode diaporama
Les ruches sont suspendues sous des huttes et reliées par des cordes. Lorsqu’un éléphant essaie de pénétrer dans le champ, il tend la corde, ce qui agite les ruches et réveille les abeilles, qui font alors fuir le pachyderme.
AFP / Martin BUREAU

99
Mode diaporama
Les fermiers du village de Magoli sont partie prenante de cette expérience. Les chercheurs échangent fréquemment avec eux pour améliorer le dispositif.
AFP / Martin BUREAU
Voir aussi
Vivant
Article
04/04/2025
Blog
03/04/2025
Blog
31/03/2025
Blog
27/03/2025
Vidéo
28/03/2025
Environnement
Vidéo
31/01/2025
Vidéo
08/12/2023
Vidéo
22/11/2023
Vidéo
07/07/2023
Vidéo
03/03/2023