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Hwange, des animaux et des hommes
30.05.2014, par
Au Zimbabwe, le parc national de Hwange constitue un écosystème de savane façonné par l’homme.
![©AFP / Martin BUREAU Parc de Hwange](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n02021hd.jpg?itok=xUnh1l-Y)
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Depuis 1999, le chercheur français Hervé Fritz coordonne, avec les gestionnaires du parc de Hwange et les communautés locales, les études scientifiques menées sur place. En 2011, le parc et sa périphérie ont été labellisés Zone atelier par le CNRS.
AFP / Martin BUREAU
![©AFP / Martin BUREAU Parc de Hwange](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n02009hd.jpg?itok=ue9By_HT)
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Durant la saison sèche, cette chercheuse réalise un prélèvement à un point d’eau auquel des éléphants s’abreuvent pour analyser l’évolution de la qualité de l’eau et évaluer son impact sur les populations animales.
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![©AFP / Martin BUREAU Girafes dans le parc de Hwange](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n02012hd.jpg?itok=gk1jQZ-V)
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Des appareils photo dissimulés autour de vingt points d’eau prennent des clichés toutes les douze secondes pour observer la fréquentation animale en fonction de l’eau disponible dans un contexte d’aridification.
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![©AFP / Martin BUREAU Buffles dans le parc de Hwange](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n02017hd.jpg?itok=ErAttdDS)
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Grâce à des colliers GPS, les chercheurs suivent 23 buffles pour en savoir plus sur leur habitat, sur leurs interactions avec leurs prédateurs et sur les risques de transmission de pathogènes.
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![©AFP / Martin BUREAU Éléphants dans le parc de Hwange](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n01989hd.jpg?itok=PczfDFnc)
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Le parc de Hwange abrite 35 000 éléphants, l’une des plus fortes densités au monde. Les chercheurs pistent par satellite 23 femelles et 10 mâles pour mieux observer leurs déplacements.
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![©AFP / Martin BUREAU Parc de Hwange](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n01984hd.jpg?itok=YMdI57Yu)
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En période sèche, les herbivores se concentrent autour des rares points d’eau, maintenus par un système de pompage. Résultat, la végétation à proximité s’épuise assez rapidement.
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![©AFP / Martin BUREAU Parc de Hwange, antenne radio pour suivre les animaux équipés de colliers GPS](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n02007hd.jpg?itok=O6GzSAt0)
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À l’aide d’une antenne radio, ce doctorant piste à distance de nombreuses espèces : éléphants, buffles, zèbres, hyènes, lions et vaches.
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![©AFP / Martin BUREAU Zèbres dans le parc de Hwange](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n01977hd.jpg?itok=aAh6MCyZ)
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Chaque zèbre possède un patron de rayures unique, ce qui permet d’instaurer un suivi individuel de ces animaux afin d’étudier leurs déplacements et leurs dynamiques démographiques.
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![©CNRS Photothèque / Stéphanie PERIQUET Lion dans le parc de Hwange](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n00204hd.jpg?itok=duKLxZHg)
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Le suivi d’une trentaine de lions, équipés de colliers GPS par des universitaires d’Oxford, permet aux chercheurs d’analyser plus finement le comportement des herbivores face au risque de prédation.
CNRS Photothèque / Stéphanie PERIQUET
![©AFP / Martin BUREAU Un éleveur du village de Lupote et son bétail](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n01965hd.jpg?itok=ns0eTu66)
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Les bovins ont une valeur économique et sociale importante. Un éleveur du village de Lupote conduit son bétail vers un bain acaricide, un traitement préventif contre des maladies transmises par les tiques.
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![©AFP / Martin BUREAU Vache plongeant dans un bain acaricide](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n01967hd.jpg?itok=yCurSHQz)
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Cette vache plonge dans un bain acaricide. Les chercheurs évaluent les risques de transmission des maladies entre la faune sauvage et le bétail, en particulier entre les buffles et les vaches.
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![©AFP / Martin BUREAU Champ du village de Magoli ravagé par les éléphants](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n02001hd.jpg?itok=ESJHW0lY)
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Chercheurs et villageois travaillent ensemble dans un champ du village de Magoli qui a été ravagé par les éléphants. Ils mesurent les empreintes de pas pour déterminer la composition du groupe ravageur.
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![©AFP / Martin BUREAU Barrières de ruches, village de Magoli, pour éloigner les éléphants](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n01996hd.jpg?itok=AZPemQnj)
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Installées autour d’un champ, des « barrières de ruches » éloignent les éléphants qui redoutent les abeilles. Grâce à cette solution efficace et peu onéreuse, les fermiers n’ont plus à surveiller leurs champs durant la nuit.
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![©AFP / Martin BUREAU Barrières de ruches, village de Magoli, pour éloigner les éléphants](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n01995hd.jpg?itok=WvTz2oqy)
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Les ruches sont suspendues sous des huttes et reliées par des cordes. Lorsqu’un éléphant essaie de pénétrer dans le champ, il tend la corde, ce qui agite les ruches et réveille les abeilles, qui font alors fuir le pachyderme.
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![©AFP / Martin BUREAU Fermiers du village de Magoli](https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/diaporama/public/assets/images/2012n01992hd.jpg?itok=FvYyAFpm)
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Les fermiers du village de Magoli sont partie prenante de cette expérience. Les chercheurs échangent fréquemment avec eux pour améliorer le dispositif.
AFP / Martin BUREAU
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