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La Guyane à vol d’oiseau
06.10.2015, par
En Guyane, les oiseaux nous en font voir de toutes les couleurs… et de toutes les formes. Les chercheurs du laboratoire Biogéosciences ont pu photographier cette incroyable diversité lors de leur dernière mission en forêt guyanaise.
La mission en Guyane a été menée dans le cadre du projet Frag&Binv : http://habitat-fragmentation.cnrs.fr/

1
Mode diaporama
Toucan ariel, Ramphastos vitellinus. Son long bec peut paraître très pesant alors qu’en réalité il bénéficie d’une structure légère en nids d’abeilles.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

2
Mode diaporama
Coq-de-roche, Rupicola rupicola. Le mâle arbore un plumage orange vif alors que la femelle affiche un plumage marron moins éclatant. Ne se reproduisant que dans les grottes, cette espèce est difficilement observable.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Anhinga d’Amérique, Anhinga anhinga. Dans la langue tupi du Brésil, le terme «Anhinga» signifie «oiseau-serpent» : une fois dans l’eau, seuls son long cou et sa tête dépassent de la surface.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Tangara évêque, Thraupis episcopus. Le plumage de ce mâle est d’un bleu azur éclatant, mêlé de gris, alors que celui de la femelle est plus terne.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Ibis rouge, Eudocimus ruber. Sa coloration, variant du rouge écarlate au rose orangé, est due à des pigments, les caroténoïdes, essentiellement présents dans les crustacés dont il se nourrit.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Héron cocoi, Ardea cocoi. Cet oiseau, adepte des eaux peu profondes, fréquente surtout les rivages et les berges des lacs, marécages, rivières et estuaires. Il s’agit de la plus grande espèce de héron d’Amérique du Sud.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Manakin à gorge blanche, Corapipo gutturalis. Le plumage de ce jeune mâle sera devenu tout noir, avec la gorge et le bec blancs, lorsqu’il aura atteint l’âge adulte.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Tamatia à collier, Bucco capensis. Cette espèce, à la tête très volumineuse, ne délivre son chant qu’à quelques reprises pendant l’aube et peut rester perchée dans une posture très rigide pendant de longs moments.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Martin-pêcheur nain, Chloroceryle aenea. Grâce à son long bec, cette espèce forestière harponne les petits poissons en plongeant dans l’eau. Très discrète, elle est difficilement observable.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Aigrette bleue, Egretta caerulea. Plutôt solitaire, elle niche toutefois en petites ou grandes colonies, avec d’autres hérons.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Martin-pêcheur vert, Chloroceryle americana. Lorsque la saison de la reproduction approche, ces oiseaux se disputent souvent leur territoire. Lors de leurs bagarres, ils en viennent parfois au bec !
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Tangara des palmiers, Thraupis palmarum. Il construit habituellement son nid volumineux dans un palmier.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Ani des palétuviers, Crotophaga major. Pendant les feux de débroussaillement, l’ani n’hésite pas à s’approcher des flammes pour capturer des gros insectes, des lézards ou des grenouilles, ce qui lui vaut le surnom de «grand zozo diable» en créole.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Émeraude à menton bleu, Chlorestes notata. Cette femelle se distingue du mâle par l’absence de tâche bleue ou violette sous le menton. Il s’agit de l’une des plus petites espèces de colibri en Guyane.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA

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Mode diaporama
Femelle de guit-guit céruléen, Cyanerpes caeruleus, parasitée par une tique. Le mâle arbore lui un plumage très différent puisqu’il est exclusivement bleu et noir.
Biogéosciences-Dijon / CNRS Photothèque / Fabrice MONNA
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