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À l’usine, au bureau, tous remplacés par des robots?
Cet article a été publié dans le numéro 3 de la revue « Carnets de science ».
Nous roulions dans une rue, j’examinai anxieusement les policiers et les agents d’entretien : c’étaient des robots. Un épicier se retourna avec curiosité : c’était un robot. Je tentai de distinguer les chauffeurs des voitures qui nous dépassaient : elles n’en avaient pas. Face aux clients, à la banque, au restaurant, au salon de coiffure, c’étaient des robots, tous, chatbots et androïdes, à roulettes ou sur des jambes…
Cette scène imaginaire, inspirée du roman de Pierre Boulle1, présage-t-elle du futur qui nous attend ? Depuis quelques années, des chiffres tapageurs font les titres de la presse au sujet de l’automatisation du travail, susceptible d’être effectué par des machines ou des logiciels. Selon certaines études, cela concernerait près d’un emploi sur deux dans les dix ou vingt prochaines années2 ! Après le plombier polonais, le (ro)bot autonome voleur d’emploi s’invite dans les débats…
Combien d’entre nous seront-ils concernés ?
« Ces études se sont notamment basées sur la créativité et la dextérité manuelle requises par un emploi pour déterminer s’il est automatisable ou non », commente Gregory Verdugo, chercheur au Centre d’économie de la Sorbonne3. Plus fine, une étude de l’OCDE4 distingue les différentes tâches d’un même emploi et tient compte du degré d’interaction avec les clients ou les collègues, une capacité gourmande en adaptabilité et, pour l’heure, non automatisable à 100 %. Résultat : « seulement » un emploi sur dix serait menacé par la prochaine « robolution » dans les pays les plus industrialisés.
Avec une approche similaire, l’enquête Insee/DARES5 arrive à 15 % d’emplois automatisables pour la France. « Bien malin en vérité qui peut prédire ce qui sera techniquement automatisable », intervient Gregory Verdugo selon lequel aucun de ces chiffres ne fait sens. « En 2004, Frank Levy et Richard Murnane, deux économistes de Harvard, classaient la conduite parmi les activités qui échapperaient aux révolutions technologiques parce qu’elle réclame de s’adapter à des situations non prévues. Six ans après la sortie de leur livre, les Google Cars sillonnaient les routes californiennes… », illustre l’économiste.
« Jusqu’à présent, ce sont surtout les emplois non qualifiés qui ont été pourvus ou modifiés par des machines, dans les usines principalement. Aujourd’hui, c’est le caractère routinier ou non d’une activité qui est pris en compte, le fait de suivre une suite d’actions selon un protocole strict », analyse Gilles Saint-Paul, chercheur au sein de l’unité Paris-Jourdan Sciences Économiques6. Et routinier ne rime pas forcément avec peu qualifié. Jardiniers et plombiers tirent ainsi leur épingle du jeu, en partie grâce à la souplesse de leurs gestes et à leur facilité de déplacement, bien loin de celles des robots. Tandis que les cols blancs ont de quoi trembler sérieusement, à commencer par les comptables jugés à l’unanimité « très automatisables ».
Selon le New York Times, de nombreuses banques américaines développent des « robo-advisors », logiciels qui gèrent le patrimoine et font fructifier l’argent de leurs clients. Au Japon, Watson, la célèbre intelligence artificielle d’IBM, remplace trente-quatre employés d’une compagnie d’assurance-vie, soit un quart des effectifs. Et on teste des algorithmes pour conseiller juges et avocats à partir de décennies de jurisprudence ou pour distinguer entre mille une tumeur maligne. Chaque jour, ou presque, de nouvelles prouesses émaillent la rubrique high-tech des webzines, laissant perplexes les jeunes cadres dynamiques.
Remplacer aussi les chercheurs...
« Ce qui est amusant, c’est que chacun croit qu’il n’est pas remplaçable par une vulgaire machine, mais je pense qu’à long terme, on finira tous par y passer », soutient Serge Abiteboul, chercheur au Département d’informatique de l’École normale supérieure (DI ENS)7, qui imagine sans état d’âme déléguer une part importante de la recherche scientifique aux intelligences artificielles (IA) du futur. « En biologie par exemple, séquencer un gène était un sujet de thèse acceptable il y a quelques années, maintenant c’est entièrement automatisable. Et dans la plupart des domaines de recherche, une grosse partie du travail est déjà faite par les machines », abonde Gilles Saint-Paul, également prêt à céder son fauteuil à une IA pondeuse de modèles économiques. Mais alors quid de la créativité, nécessaire dans ces activités intellectuelles ?
« Les programmes d’échec ou de jeu de go jouent parfois des coups créatifs auxquels les humains n’auraient pas forcément pensé. La création n’est pas le but principal des machines actuellement, mais avec des générateurs de nombres aléatoires, elles peuvent produire des quantités pharaoniques de choses qui sont ensuite triées via des mécanismes de sélection : la plupart partira à la poubelle mais dans le lot, il y aura des idées intéressantes », répond Gilles Saint-Paul. « D’ailleurs, il y a déjà des productions artistiques réalisées par des machines, en arts graphiques, en écriture de scénarios, etc. La question est plutôt : aura-t-on envie de lire le roman écrit par un algorithme ? », interroge Serge Abiteboul.
À long terme, il n’y aurait donc pas d’obstacle théorique à une automatisation totale. Il y a ainsi 50 % de chance que l’IA soit plus performante que nous en toutes tâches dans quarante-cinq ans en moyenne, et automatise tous les métiers dans cent vingt ans, selon les 352 experts en IA interrogés par une équipe d’Oxford8, qui situent la rédaction d’un best-seller et la maîtrise d’une chirurgie aux alentours de l’an 2050.
Quant à la gaucherie des robots ambulants, c’est un faux problème : « Certes, le plombier humain se contorsionne pour atteindre les bons tuyaux et boulons, mais on peut repenser et standardiser l’organisation spatiale de nos installations pour que ces mouvements complexes ne soient plus nécessaires », estime Raja Chatila, directeur de l’Institut des systèmes intelligents et de robotique (Isir)9, faisant remarquer que la méthodologie de son lave-vaisselle est totalement différente de la sienne pour arriver à un résultat identique… Idem pour les robots Kiva des entrepôts de la société Amazon. Comme le choix et la préhension sur les étagères des objets à expédier est un vrai casse-tête pour un robot avec des bras, la société de vente a changé la nature de la tâche à accomplir : les robots, sortes de « coffres à roulettes », se contentent de glisser sous les étagères et de les soulever pour les apporter entières à un employé (humain), qui, en bout de chaîne, n’a plus qu’à lever le bras pour y prendre le bon article à expédier.
Rendre automatisable n'importe quelle tâche
« Le processus est repensé pour que les tâches non routinières soient remplacées par des tâches routinières automatisables, dans le même esprit que la chaîne d’assemblage de Henry Ford », commente Gilles Saint-Paul. Selon lui, toute tâche peut se découper en une suite d’actions à accomplir strictement. « La distinction routinier/non routinier n’est pas immuable. Une fois qu’on comprend bien une tâche, toutes peuvent devenir routinières », affirme-t-il. Dans ce cas, ne faudra-t-il pas garder un humain « dans la boucle » pour prendre les décisions finales, notamment en médecine et dans le domaine de la justice ?
Le besoin de maintenir ainsi la machine à un traditionnel rang de simple outil, inévitable condition brandie par les cols blancs en voie de remplacement, laisse Gilles Saint-Paul sceptique : « Je ne suis pas certain que des arguments techniques le prouvent. En revanche, il faudra bien entendu considérer les problèmes d’éthique et de responsabilités juridiques ou morales que cela peut poser, ainsi que l’acceptation des citoyens et des consommateurs. Même s’il faut garder quelques humains au travail pour superviser les machines et prendre les décisions finales, on peut imaginer qu’à long terme, on sera plus proche d’un cas limite du type un humain pour cinq cents machines », projette l’économiste qui a élaboré six scénarios pour un tel monde.
Une taxe sur les machines ?
En attendant une potentielle « robolution » totale, revenons à notre avenir imminent. Un consensus émerge clairement chez les chercheurs sur une idée jugée contre-productive et pour l’instant retoquée par le Parlement européen : taxer les machines « voleuses10 » d’emplois. « Les robots et logiciels perfectionnés sont une opportunité considérable pour la croissance et l’innovation. Les taxer alors qu’ils n’ont pas encore été déployés serait stupide », affirme Gilles Saint-Paul. « Si seule la France met en place une taxation, elle aura un désavantage compétitif par rapport à d’autres pays », enchérit Gregory Verdugo. Une telle mesure pourrait provoquer une sévère vague de « délocalisation robotique », alors que notre pays est généralement jugé sous-équipé et en retard : 32 000 robots, contre plus du double en Italie et du triple en Allemagne11.
Ensuite, ce n’est pas parce qu’une activité est robotisée qu’elle n’emploie plus d’humains : les industries automobiles outre-Rhin ont 100 000 salariés de plus qu’il y a vingt ans12. Beaucoup d’emplois non qualifiés et qualifiés vont disparaître, mais d’autres devraient être créés sur les nouveaux marchés des objets connectés, des transactions sécurisées ou des dispositifs médicaux, dans lesquels la France a un fort potentiel à exprimer. Enfin, les pays qui ont le plus de robots (Japon, Corée du Sud, Allemagne et Suède) seraient aussi ceux qui ont le moins de chômage et le plus d’emplois dans l’industrie.
La technologie transformerait l’emploi plus qu’elle ne le détruit (lire l'encadré plus bas). «Regardez les métiers de la banque : avant l’arrivée de l’informatique, ils étaient faiblement qualifiés (donner des petites coupures, noter les dépenses, etc.), reprend Gregory Verdugo. Une fois déchargés de ces activités routinières et mécaniques, ils se sont spécialisés dans des activités plus qualifiées de conseil.» Finalement, cela nous pousse à nous spécialiser là où se trouve l’avantage comparatif de l’humain par rapport à la machine. Et maintenant que les algorithmes de conseil sont sur le point de les surclasser, que feront banquiers et assureurs ? « Ils trouveront autre chose pour améliorer le service », suppose l’économiste. Il est vrai, les humains sont très doués pour créer de nouveaux besoins, il suffit de voir le nombre d’applications smartphone dont on ne peut plus se passer...
Selon le Conseil d’orientation pour l’emploi, il faut ainsi se préparer à ce que la nature de 50 % des emplois mute sous l’influence de l’IA. Et début 2016, le Forum économique mondial estimait que plus de 2 millions d’emplois seraient créés d’ici à 2020 dans les domaines spécialisés, tels l’informatique, les mathématiques et l’ingénierie. Mais « si tous les gens qui ne sont pas complémentaires de l’IA sont mis sur le côté et qu’on leur donne des jeux et du cirque, dans cinquante ans nous avons Metropolis, et dans un siècle nous avons Matrix », prophétise le transhumaniste Laurent Alexandre13, qui n’a peut-être pas tout à fait tort sur ce point-là…
Protéger les individus plutôt que les emplois
« En tout cas, il vaut mieux aider les gens à se réallouer dans un autre secteur plutôt que d’empêcher la mise en place des technologies, sources de richesses », insiste Gregory Verdugo. Selon lui, le discours de la préservation des emplois à tout prix, exercice obligatoire du politique en visite dans une usine, est plutôt vain, surtout dans les secteurs en déclin à cause d’une rupture technologique (comme le disque laser face aux fichiers téléchargeables sur Internet) ou d’un changement de goût des consommateurs. « Il vaut mieux protéger les individus que les emplois, comme l’ont très bien fait à la fin des années 1990 les pays scandinaves en mettant en place des politiques de formation dites de flexisécurité », illustre le chercheur. À condition bien sûr qu’un vrai volet sécurité compense les concessions en matière de flexibilité…
Et si un revenu universel de base s’impose pendant les années de transition, afin de maintenir la cohésion sociale, il ne doit pas s’opposer à la transformation numérique mais l’accompagner. C’est le filet de sécurité dont les travailleurs bénéficieront pour se former et s’adapter tout au long de leur vie. Dans ce cas, qui devra mettre la main au porte-monnaie ? « Comme le propose Thomas Piketty, on peut taxer le capital en général plutôt que de taxer le travail, reprend Gregory Verdugo. Surtout, taxer spécifiquement les robots au détriment des autres technologies pousserait notre industrie à essayer de s’en passer ». Économiquement suicidaire et franchement anachronique…
Le travail ne restera pas forcement le nœud autour duquel s’articulent droits sociaux, intégration sociale et accomplissement de soi. « Pousser des wagonnets au fond de la mine n’est pas un objectif pour l’humanité », commente Serge Abiteboul. Robot vient du tchèque « robota » qui signifie « travail forcé », et travail vient du latin « tripalium », instrument de torture à trois pieux… Peut-être aboutira-t-on dans cent ans à une société sans travail humain où les individus n’auront comme inquiétude que d’occuper leur temps libre et se trouver un nouveau rôle social. « Keynes voyait le progrès comme facteur d’expansion du loisir. Le problème ne sera plus de donner du travail à tout le monde mais de se répartir des richesses produites grâce à la technologie », conclut Gregory Verdugo. « L’économiste Richard Freeman, de l’université d’Harvard, encourage d’ailleurs travailleurs et syndicats à investir dans la possession des machines et logiciels sophistiqués. Pour que les gains en productivité qu’ils apporteront soient effectivement redistribués et que les travailleurs ne deviennent pas “les serfs des nouveaux seigneurs des robots”. » On nous aura prévenus… ♦
« La technologie tue l’emploi » : une idée fausse
Pour sauvegarder l’emploi, l’empereur romain Vespasien avait ponctuellement renoncé au progrès technique au Ier siècle. Les canuts de Lyon, ouvriers tisserands de la soie, firent la peau à de stakhanovistes machines à tisser dont la cadence leur faisait concurrence dans les années 1830, tandis que leurs homologues britanniques, les luddites, en auraient réduit en miettes plus d’un millier en 1811. L’idée que le progrès technique détruit l’emploi a la vie dure. Dans les années 1980, l’économiste Alfred Sauvy montra qu’elle était fausse et que durant les deux siècles précédents, production et productivité furent bouleversées et décuplées sans provoquer d’augmentation durable du chômage. « C’est la thèse du déversement », explique Gregory Verdugo. En bref, grâce à une meilleure productivité, le progrès technologique permet de baisser le prix de certains produits, ce qui provoque une hausse de la consommation de produits déjà existants ou de nouveautés, créant de nouveaux emplois pour les produire. « Le passage du cheval à la voiture a mis les cochers au chômage mais a aussi créé toute une industrie automobile. Et nous sommes passés de la société agricole à industrielle, puis au tertiaire, dominé par les métiers de service, en consommant plus de soins médicaux, de loisirs, de culture, etc. Il n’y a pas de modèle économique qui le garantisse, mais jusqu’ici l’innovation technologique n’a jamais tué l’emploi. »
Qui seront les perdants de l’automatisation ?
Le progrès technologique n’a certes jamais tué l’emploi, mais il crée toujours des inégalités. Ces quarante dernières années, les travailleurs les plus qualifiés ont tiré les marrons du feu tandis que les moins qualifiés se sont appauvris. Avec la prochaine « robolution », les écarts devraient se réduire : en se reconvertissant dans les métiers encore préservés, les cols blancs verront baisser leur revenus (sauf les experts des nouvelles technologies), tandis que les personnes peu qualifiées dont le travail est encore difficilement automatisable (jardinier, plombier, nounou, etc.) vont gagner du pouvoir d’achat. Jusqu’à ce que, imagine-t-on, tout le monde soit logé à la même enseigne : plus de travail… Le seul véritable problème de l’humanité serait alors la répartition des richesses produites. « Il faudra prendre garde à ne pas aller vers un monde trop inégalitaire », imagine Serge Abiteboul. « Aujourd’hui, quelques “ oligopoles ” du web se partagent une très grande quantité de richesses et paient très peu d’impôts. Les gouvernements doivent y réfléchir s’ils veulent sortir de ce modèle délétère », alerte le chercheur. « Les créateurs de ces empires ont du talent, mais cela justifie-t-il qu’ils accaparent en totalité le produit du travail des machines ? Est-ce vraiment un choix de société ou plutôt le résultat de systèmes politiques et de considérations économiques devenus obsolètes ? », questionne Serge Abiteboul. Nos modèles économiques fonctionnent en effet sur la concurrence, or dans le monde du web la logique est inversée : « De nouveaux concurrents n’ont quasiment aucune chance de détruire la situation de monopole d’un acteur déjà bien développé, car plus il y a de monde sur un réseau, plus il est attractif pour les consommateurs. Par exemple, créer un concurrent à Internet est parfaitement illusoire ! La nature des biens a changé et il faudrait revoir nos systèmes économiques et politiques de A à Z… », conclut le chercheur.
À Lire sur notre site :
Six scénarios pour un monde sans travail (ou ce qui se pourrait se passer au XXIIe siècle...)
Peut-on faire confiance à l'intelligence artificielle ?
Pour aller plus loin :
Le Temps des algorithmes, Serge Abiteboul et Gilles Dowek, Le Pommier, 2017.
Les Nouvelles Inégalités du travail. Pourquoi l’emploi se polarise, Gregory Verdugo, Presses de Sciences Po, coll. « Sécuriser l’emploi », 2017.
Cet article a été publié dans le numéro 3 de la revue « Carnets de science »
- 1. La Planète des singes (1963).
- 2. Ce serait 47 % aux États-Unis, 42 % en France, 49 % au Japon et 54 % dans l’Union européenne (France Stratégie, « L’effet de l’automatisation sur l’emploi : ce qu’on sait et ce qu’on ignore », La Note d’analyse, n° 49, juillet 2016).
- 3. Unité CNRS/Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
- 4. Arntz, M., Gregory, T. & Zierahn, U., « The risk of automation for jobs in OECD countries. A comparative analysis », OECD Social, Employment and Migration Working Papers, no 189, mai 2016.
- 5. France Stratégie, La Note d’analyse, n° 49, juillet 2016.
- 6. Unité CNRS/Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne/École des hautes études en sciences sociales/École normale supérieure Paris/École des Ponts ParisTech/Institut national de la recherche agronomique.
- 7. Unité CNRS/École normale supérieure Paris/Institut national de recherche en informatique et en automatique.
- 8. Katja Grace et al., « When will AI exceed human performance ? Evidence from AI experts », arXiv, 30 mai 2017.
- 9. Unité CNRS/Université Pierre et Marie Curie/Inserm.
- 10. La « taxe robot » était le deuxième volet de la résolution adoptée le 16 février 2017, qui propose aussi l’attribution d’une personnalité juridique aux machines.
- 11. France Stratégie, La Note d’analyse n° 49, juillet 2016, p. 5-6.
- 12. Ibid., p. 6.
- 13. Intervention au Sénat le 19 janvier 2017 au sujet de l’intelligence artificielle.
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Auteur
Journaliste scientifique, autrice jeunesse et directrice de collection (une vingtaine de livres publiés chez Fleurus, Mango et Millepages).
Formation initiale : DEA de mécanique des fluides + diplômes en journalisme à Paris 7 et au CFPJ.
Plus récemment : des masterclass et des stages en écriture...
Commentaires
Bien intéressant votre
Marcel Dehem le 23 Juillet 2018 à 19h06Il semble (mais c'est une
François Larmignola le 28 Juillet 2018 à 18h13Ne plus travailler mais
linda laforge le 28 Septembre 2023 à 09h22Connectez-vous, rejoignez la communauté
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